4 astuces pour bien choisir son vélo électrique

Nombreuses sont les citadins se tournant vers le VAE ou vélo à assistance électrique. Depuis 2012, plusieurs modèles se sont écoulés. Voici quelques indices pour choisir son moyen de mobilité.

1.      Choisir en fonction de l’autonomie

Faire le bon choix en velo electrique nécessite forcément la considération de l’autonomie. Les derniers modèles en entrée de gamme ont une autonomie comprise généralement entre 30 et 35 km. Soit aux alentours de 1 200 euros.  La moyenne gamme est de 40 et 60 km coûtant 1 800 euros environ. Et les vélos haut de gamme peuvent avoir une autonomie montée jusqu’à 200 km.  Bien que le trajet quotidien d’une personne excède très rarement les 8 km, il ne faut donc pas rechercher l’autonomie maximum à tout prix.

2.      Vérifier la tension, capacité et généralement la batterie

Tant que la tension est très élevée, les montées deviennent très faciles. Pour ne pas fournir trop d’effort, il ne vaut mieux ne pas préférer un velo electrique aux alentours de 24 volts. Outre la tension, la capacité de la batterie, s’affichant en ampère-heure. Plus la capacité est élevée, plus le conducteur a autant d’autonomie. Le standard de base en termes de tension et de capacité est de 36 volts/8 Ah. L’autonomie est très limitée en dessous de 8 Ah. Il faut choisir un type de batterie quasiment amovible pouvant être chargée à tout moment sur une prise standard et ne souffrant pas d’effet mémoire.

3.      Tenir compte de la force du moteur du velo electrique

Le moteur alimenté par la batterie prend en charge 90 % du mouvement du moyen de mobilité. Un moteur se trouvant entre deux roues ou placé directement sur le pédalier est idéal pour arriver à sa destination sans encombre. Avec une puissance limitée vers 250 watts, il peut se couper une fois que la vitesse outrepasse les 25 km/h. Pour s’assurer une attaque des rues en pente sans difficulté, il faut choisir un couple de moteurs élevé (s’exprimant en Newton mère Nm). Il faut au moins 28 Nm pour faire des montées faciles.

4.      Compter la performance du vélo selon les capteurs

Les capteurs sont les éléments qui déclenchent l’assistance. Ils sont disponibles sous deux formes : en rotation ou en pression. Les capteurs de rotation se placent dans le pédalier. Ils n’aident pas promptement à l’heure d’un démarrage en côte. Par contre, les capteurs de pression ont pour spécificités de détecter chaque moindre poussée sur la pédale. Ils envoient immédiatement une réponse adaptée à cette dernière. Avec les capteurs de pression, l’assistance est rapide, bien plus dosée et plus fluide que pour les capteurs de rotation où la sauce est envoyée lorsque la pédale a réalisé au moins un quart de tour. Cependant, en termes de coût les capteurs de pression sont assez onéreux.

Il faut choisir forcément de la meilleure qualité pour arpenter les rues urbaines avec un vélo. Tant sur le niveau de l’autonomie, de la batterie, du moteur que sur le niveau des capteurs. Rien ne vaut un velo electrique haut de gamme, ultra chargé, il permet tout de même des montées faciles.

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Publié :21 avril 2016

Loisirs

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