La RRC ou la réduction des risques de catastrophe retient toujours deux points essentiels qu’il ne faut pas négliger. Tout d’abord, il y a l’établissement de systèmes d’alerte précoce. Ces systèmes visent à prédire les facteurs qui pourraient représenter un danger pour les hommes.

À partir de ces données, on peut faire en sorte d’augmenter le niveau de préparation aux catastrophes. Cette action minimise les pertes en vie humaine et les dégâts matériels lors des événements sinistres.

Comment mettre en place la réduction des risques de catastrophe ?

La réduction des risques de catastrophe ou RRC passe par la conception est la mise en  pratique des efforts méthodiques visant à analyser et à gérer les causes des catastrophes. Ces efforts devraient surtout être axés sur une réduction de l’exposition aux aléas naturels et de la vulnérabilité des personnes et des biens, une gestion rationnelle des sols et de l’environnement et l’amélioration de la préparation aux événements indésirables.

Il est à noter que la RRC est un pas important dans l’adaptation aux changements climatiques ou ACC. Ces phénomènes météorologiques tendent à présenter des risques permanents pour les hommes et notamment pour les plus démunis. Il faut donc réduire le risque de catastrophe pour ne pas laisser ces personnes en proie aux dangers des changements climatiques.

L’univers de l’application de la RRC est très large. Certes, cela concerne les catastrophes naturelles et leurs gestions, mais elle peut aussi avoir une place essentielle dans le milieu routier ou dans le cadre des entreprises.

Qui œuvre pour la réduction des risques de catastrophe ?

Même s’il y a certains organismes comme la croix rouge ou le croissant rouge qui œuvrent pour la réduction des risques de catastrophe, il faut savoir qu’il est du devoir de chacun de contribuer à cette action. Les stratégies et les politiques de ces institutions visent à instaurer des environnements qui limitent au maximum les dégâts que peuvent causer les catastrophes comme les inondations, les incendies, les cyclones…

Par exemple, la stratégie la plus fréquemment remarquée est l’ACC ou l’adaptation au changement climatique. Selon le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), c’est un ajustement des systèmes naturels ou des systèmes humains en réponse à des stimuli climatiques présents ou futurs ou à leurs effets. Ceci est effectué afin d’atténuer leurs effets néfastes ou d’exploiter les opportunités bénéfiques. Une bonne Prévention des risques nécessite donc beaucoup de travail de la part de ces organisations internationales et régionales afin de préserver la sécurité de chacun. Pourtant, il faudrait aussi que tout le monde participe à cette mise en place de stratégie préventive.