Commencer une profession libérale peut évoluer très vite en un véritable gouffre. Il existe toutefois certaines bonnes pratiques à suivre. Les idées ci-dessous ont pour rôle de vous accompagner dans votre démarche afin de rapidement mettre en place votre profession, de l’amortir, sans ignorer de vous assurer.
Un emploi exercé de façon libérale se distingue par l’absence de hiérarchie entre l’entité offrant les réalisations et son client. A ce titre, plus de 200 métiers sont définis libéraux. Parmi ceux-ci, on discernera surtout des métiers de la santé comme les thérapeutes, les généralistes ou encore les notaires ou encore les géomètres.
A quelle filiation s’apparente mon travail ?
Une grande partie des métiers libéraux est contrainte à une réglementation et des principes établis par une organisation légalisée. On ne peut exercer ces activités qu’une fois obtenu un diplôme validant les capacités exigées. C’est le cas si vous pensez à devenir praticien ou médiateur à votre compte.
Les autres entreprises libérales, qui ne sont pas rattachées à un règlement, peuvent être accomplies dans la plupart des cas par des individus non qualifiés. C’est le cas des professions dont l’aspect est plus éditorial ou inventif.
Fonction libérale et protection santé
Il existe deux régimes sociaux spécifiques aux libéraux qui découleront de votre régime. Par exemple, les structures unipersonnelles seront assimilées au statut social des indépendants ou même au régime des travailleurs non-salariés. Pour certains dirigeants de SA ou de SASU, la couverture sera celle de la sécurité sociale des ouvriers.
Préserver sa santé c’est bien mais il ne faut pas oublier de protéger votre entreprise. Quelques métiers libéraux impliquent du mobilier coûtant très cher comme les médecins spécialistes, les kinésithérapeutes… Afin d’affronter les incidents exceptionnels, n’hésitez pas, adhérez à une protection pour les professionnels.
Libéraux, quels régimes d’impôt ?
De même que pour la protection sociale, vous pourrez être soumis à plusieurs types de taxation selon votre statut. Si vous êtes indépendant dans votre société, vous appartiendrez certainement à la taxe sur le salaire. L’impôt sur les industries, quant à lui, s’adressera aux compagnies de catégorie SARL, SA ou SAS.
Avant de commencer son métier, on préconise de déterminer les réductions d’impôts qui vont favoriser la situation de la société.